Dans ce feuilleton politique qui ridiculise la Tshopo depuis quelques semaines, un nom revient constamment : Bolongue Bienvenu, celui que beaucoup présentent déjà comme le porte-voix de la motion de la honte contre le Gouverneur Paulin Lendongolia.
Ce député provincial – ancien infirmier devenu député par procuration – s’est offert au centre de la scène, non pas par la pertinence de ses idées, mais par l’excès de ses attaques et l’étrangeté de ses alliances politiques.
Car maintenant, dans les couloirs politiques, de nombreuses interrogations jaillissent :
au nom de qui parlait-il réellement ?
Plusieurs sources politiques, bien ancrées dans la réalité Kinoise, évoquent des influences et soutiens extérieurs – y compris des rapprochements opportunistes avec des figures connues comme Guy Luando et Madeleine Nikomba – dont la présence dans l’ombre de cette motion laisse planer une question cruciale : y a-t-il eu plan concerté pour déstabiliser la Tshopo ?
Vous pouvez suivre Bienvenu Bolonge en direct sur ce lien de Kaba Liso: (getButton) #text=(Regarder le Live du 27 Octobre 2025) #icon=(link)
Lors de cette séance théâtrale de mise en accusation du Gouverneur Paulin Lendongolia – véritable mascarade institutionnelle – Bolongue Bienvenu est allé jusqu’à déclarer publiquement que “c’est le Ministre national des Finances Doudou Fwamba qui travaille réellement dans la Tshopo, c’est lui qui finance tous les projets dans la province”.
Stop.
Question fondamentale :
Dans ce pays, qui est le garant de la Nation ?
La Constitution est claire.
Il y a un seul Commandant du navire : le Président de la République.
Les projets du Chef de l’État ne deviennent pas “les projets d’un ministre”. Point.
Alors, comment un député provincial peut-il volontairement effacer le Président de la République du tableau, et élever à la place un ministre – fût-il très influent – comme “source de tous les projets” dans la Tshopo ?
Ignorance ?
Manipulation ?
Ou mission commandée ?
Car ce qui s’est joué là n’est plus seulement une querelle politique locale.
C’est un déplacement volontaire de la légitimité républicaine.
Et maintenant que l’onde de choc se propage, une chose devient évidente :
la Tshopo n’était pas l’objectif final.
La Tshopo était le terrain d’essai.
Je reviens.
Je reviendrai décortiquer point par point leur mise en accusation truquée, leurs chiffres qui ne tiennent pas, leurs accusations cousues de fil blanc.
Leur opération était mal préparée.
On va tout déballer.
MAKWAPA SOLO | SANS GANTS
