
Le pouvoir à tout prix, même si cela implique de sacrifier des innocents. C'est la politique dangereuse mise en œuvre par des acteurs politiques assoiffés de pouvoir dans la Tshopo.
Les véritables souffrances des habitants de la Tshopo ne proviennent pas de l'extérieur. Elles sont directement imputables à ceux qui, au sein même de la province, sont obnubilés par la conquête du pouvoir.
Depuis le début de la crise institutionnelle dans la Tshopo, un phénomène étrange est apparu : les cambriolages ont soudainement diminué, et le tristement célèbre phénomène « attrape-le-sexe » a disparu. Cette accalmie forcée suggère que certains fauteurs de troubles, masqués par leurs ambitions politiques, étaient en réalité les principaux instigateurs de l'insécurité.
Nous avons recoupé des informations, interviewer des motards, des personnes lambda etc les mêmes noms reviennent : Kanga Londimo Mateus, Didier Lomoyo Iteku, Mangala Fontaine, Makofi makoka...