Kisangani Humilie Didier Lomoyo : Un Accueil Fantôme Qui Dévoile la Mère de Tous les Détournements
Ce jeudi 13 novembre, Kisangani a offert à Didier Lomoyo la gifle politique qu’il méritait. Un vrai électrochoc. Le vice-gouverneur intérimaire, gonflé d’arrogance et convaincu qu’il marcherait sur une foule chauffée à blanc, s’est retrouvé face à… le néant total.
Pas de mobilisation.
Pas de population.
Pas même un semblant de soutien.
Rien. Un désert humain.
Et pourtant, ses sorciers politiques lui avaient pondu un budget hallucinant :
82 millions de francs pour, soi-disant, « mobiliser la population ».
82 millions ! Pour quel résultat ?
Pour que Kisangani lui tourne le dos comme jamais.
Qu’on arrête de tourner autour du pot :
c’est du vol. Un pillage. Un braquage administratif en plein jour.
Un détournement sans honte, exécuté par ses propres collaborateurs qui lui ont servi un faux état de besoin comme un plat empoisonné. Résultat : il débarque fièrement… et la population demande :
« Celui-là, c’est qui ? »
C’est ça, la vérité crue :
Didier Lomoyo n’a aucune base. Aucun soutien. Aucune légitimité.
Un intérim pour voler encore un peu avant la chute
Soyons sérieux : ce déplacement à Kisangani n’a rien d’innocent.
Lomoyo n’est pas venu pour gouverner. Il n’est pas venu pour écouter.
Il est revenu pour profiter du peu de temps qui lui reste, gratter tout ce qu’il peut avant que la Cour constitutionnelle ne sonne la fin de la récréation.
Il sait que le couperet approche.
Il sait que sa parenthèse de pouvoir est en train de se refermer.
Alors il fonce, il manipule, il encaisse — comme un homme qui vide les tiroirs avant d’être expulsé.
Et ce jeudi, Kisangani a refusé de servir de décor à ses mensonges.
La ville lui a opposé un silence cinglant, un rejet violent, un boycott historique.
Même l’argent volé n’a pas pu acheter une foule.
Voilà le niveau de discrédit : même payée, la population n’en veut pas.
Le message de Kisangani est clair : Lomoyo est fini
Ce non-accueil est un verdict populaire :
Lomoyo est politiquement mort.
Ses propres collaborateurs le dépouillent.
La population l’ignore.
Et la justice l’attend au tournant.
Le jeudi 13 novembre restera comme le jour où Didier Lomoyo a été mis à nu :
un intérimaire en fuite, entouré de voleurs, sans peuple, sans honneur, sans avenir.
MAKWAPA SOLO | SANS GANTS
